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II, 527

La maison des Biaggi se dressait devant moi dans la nuit. Je m'étais
arrêté devant la grille, sachant que peut-être quelqu'un m'avait suivi,
et je regardais le jardinla villa dans l'obscurité, les grands arbres immobiles du jardin
dont le vent faisait frémir le feuillage qui étaient plantés avec régularité le long de l'allée dont le feuillage bruissait légèrement dans le vent. La terrasse était déserte, dans
l'ombre de laquelle un parasol renversé gisait sur le sol, tandis que
la silhouette de deux jarres de terre cuite qui contenait des restes
bleuâtres et déssécvhés de corymbes d'hortensias s'élevaient de chaque
côté de la grande porte-fenêtre dont les volets étaient fermés.

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Fuhrmanl brigittefc