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VI ② 88

pour prolonger le contact de
mes pieds nus
avec le sable sous mes pieds  
et m'en imprégner
toujours plus.


Je ne rentrai pas à l'hôtel tout de suite ce soir-là, je m'éloignai
vers la grande plage de sable qui s'étendait derrière le village sur
plusieurs kilomètres. J'avais déjà laissé le village derrière moi, et je
longeais dans l'obscurité le petit chemin de terre qui menait à la plage, évitant
çà et là de les grandes flaques d'eau immobiles faiblement faiblement eclairées par la lune qui s'étaient formées dans les ornières. que la
lune éclairait faiblement.
Il y avait un champ baigné par la lune dans l'obscuritéen bordure du chemin, un champ désert abandonné et désert que protégeait
une vieille clôture tout abîmée, que la lune, éclairait faiblement, et j'aperçus un taureau au loin immobile
dans le champ, avec la montagne en arrière-plan dont les contours se
devinaient dans la nuit
Je continuais d'avancer vers en direction de la plage et, continuant de suivre le chemin, faiblement éclairé par la luneje commençais bientôt à entendre le bruit de la mer au loin, le murmure régulier. J'entendais le bruit de la mer maintenant tout en marchant, le murmure
régulier de la mer qui avait la qualité du silence, qui m' apportait comme un soulagement des sens et de l'esprit – Arrivé sur et, comme j'arrivais en vue de 
sur
la plage, j'enlevai ôtai mes chaussures et mes chaussettes et je continuai
pieds nus dans le sable vers en direction de rivage, mes chaussures à la main. Je sentais le contact froid et humide du sable
sous la plante de mes pieds, un contact presque très sensuel  le sable mouillé qui pénétrait entre mes orteils  qui me faisait
et j'enfoncer ai
et je marchais dans la nuit en enfonçant  mes pieds mes pieds à chaque pas mes pieds davantage dans le sable, dans le sable pour m'en imprégner de son ce son contact — apaisant. Arrivé devant
la mer, je m'assis au bord de l'eau dans le sable au bord de l'eau, et je regardai le ciel devant moi dans la nuit et je me mis à regarder ai le ciel  devant moi 
dans la nuit, sans nuage, puis, lentement
jJe mis un pied dans l'eau glaciale
d'une vaguelette
et je sentis un frisson dans tout le corps, mon sang
s'activant et me montant à la tête, puis je déposai l'autre pide  ed dans
l'eau glaciale.de la mer de novembre. , et mes pieds peu à peu s'accoutumèrent à la température de la de l'eau demer.glaciale. de. l'eau mer
[Le phare de l'île de Sasuelo tournait avec régularité devant moi dans
la nuit, et j'apercevais les contours de l'île au loin, sur lesqquels
chaque passage de la lumière jetait un éclairage fugitoif.] J'étais Je restais toujours
assis là en manteau sombre sur la plage, et je ne bougais pas, les pieds
dans l'eau et les yeux ouverts dans l'obscurité, et, comme je me relevais pour regagner l'hôtel,  je vis alors un bateau
apparaître alors à l'horizon dans la baie de Sasuelo alors, un ferry qui glissait immobile à la surface de l'eau
à l'horizon, qui glissait très lentement lentement immobile à l'horizon les hublots et la cheminée tout illuminés dans la nuit dans la nuit dans la nuit  dans la nuit toutes lumières allumées,les lumières alluméestoutes lumières allumées,
les lumières des hublots et de la cheminée allumées dans la nuit , et qui disparut finit par disparaître enfin  au large bientôt , , enfin,  lentement derrière les contours rocheux l'île de Sasuelo. ,  dont le phare continuait de tournait avec régularité dans la nuit. ??????????

que je contemplais en silence.



devant moi
au bord de
l'eau

sur la plage déserte
sur le rivage.


Je m'étais assis au bord del'eau la mer,et, lentement, je finis par mettre un pied dans la mer une petite vaguelette qui se retirait  l'eau,


J'avais fini par m'asseoir au bord de l'eau, et je regardais la mer en face de moi, immobile et 
   ?  , puis,  lentement


Puis, lentement, Je soulevai la jambe alors, et, lentement, je déposais mis un pied dans l'eau

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