Et je sus alors comment le chat était mort. Je sus alors, par l'homme
même qui me l'expliqua peu après, non pas pour justifier la brusquerie
de son geste d'ailleurs, mais toujours par irritation, en continuant de
regarder dans la direction où le chat avait fui, que, la veille où le
chat était mort, ayant décidé d'aller à la pêche le lendemain, il avait
comme ce soir préparé ses palangres à l'avance et qu'il les avait laissées
pendant la nuit sur le bateau, et que, le lendemain matin, quand il était
arrivé dans le port — il avait dû se lever vers cinq heures du matin, — il avait été suivi
quand il faisait encore nuit dans le village et avant ma propre arrivée
dans le port, reconstituai-je par la suite
deux chats sur la jetée, qui, au moment où
dans la barquesous ses pour s'agttaquer
yeuxaux palangre aux appâts des palangres et que,lorsqu'il les avait rejoint dans la barque, les chats s'étaient enfuis,
mais l'un d'eux avait été retenu par un hameçon qui il s'était accroché
dans sa bouche et était resté prisonnier des palangres
lorsqu'il les avait rejoint dans la baqrue pour les chasser, les chats
s'étaient enfuyis,
qu 'il la bouche palangres avait qu'il avait commencé à se débattre tous les fils des palangres
et que, voyuant cela, l'homme s'était emparé d'un petit couteau et
avait coupé net le fil pour libérer le chat, qui, pris de panique qu'il s'était noyé en très peu
de temps sous ses yeux. Ensuite, l'homme était parti à la pêche. Et
ce n'est que plus tarden réalité ce matin-là, reconstitua-i-je par la suite, que je
m'étaisdans le port village
du chat Mercedes de vieille Mercedes
grise