nuit et me regardaient fixement. Et l'homme cria très fort alors, qui me
fit sursauter, jeta le chiffon qu'il avait à la main dans sa direction
et sauta à bas de la barque.Et lLe chiffon atterit mollement en face de
moi sur la jetée.

Et je sus alors ce qui s'était passé. Je sus alors, par l'homme lui-même
qui me l'expliqua en détail — car je voulus connaître les détails — comment
le chat était mort il y a quelques jours.Comment le chat était mort accidentellement il y a quelques jours. La veille du jour où le chat était
mort, en effet, l'homme avait décidé  d'aller pêcher le lendemain et il
avait préparé sdes palangres à l'avance comme ce soir, en vue d'aller pêcher le lendemain et il avait ses palangres  qu'il avait laissées pendant la nuit sur le bateau. Le lendemain matin, quand il était arrivé dans le port, il faisait encore nuit <>et il avait été suivi par deux chats
sur la jetée, qui, comme il s'apprêtait à monter dans sa barque, avaient
bondi sous ses yeux dans le bateau pour s'attaquer aux appâts de ses palangres , . 
et, lorsque lL  'homme, s'emparant d'un bâton, les avait aussitôt rejoint immédiatement dans la barque
pour les chasser, les chats s'étaient enfuis  immédiatement aussitôt , mais l'un d'eux,
retenu par un hameçon qui s'était accroché dans sa gueule, était resté pri-
sonnier des lignes de pêche et avait commencé alors à se débattre furieusement
en emmêlant tous les fils des palangres au fond de la barque, et, voyant
cela, et pour protéger ses lignes afin de protéger ses lignes, se voyant dans l'impossibilité de le maîtriser , l'homme s'était alors emparé d'un petit 
couteau et avait coupé net le fil pour libérer le chat, qui, pris de panique
et tournant dans tous les sens dans la barque l'hameçon accroché dans la 
gueule, avait fini par sauté er par-dessus bord pour s'enfuir et s'était noyé en très
peu de temps sous ses yeux. Ensuite, l'homme était parti à la pêche. Et
ce n'est que plus tard que je m'étais rendu moi-même sur la jetée en réalité,
et que j'avais découvert le chat mort dans le port, et, sur la place du
village, la vieille Mercedes grise de l'homme garée dans la pénombre.