Vous visualisez actuellement un média autre que celui transcrit/à transcrire.
III, 2


J'avais fait appelé un taxi, et je l'attendais à la réception, mon
fils
dans mes bras
, avec toutes mes affaires qui était réparties sur
le sol dans la de la pièce étroite, il y en avait jusque sous l'aquarium.
J'avais dû les descendre en deux fois, laissan confiant mon fils un
instant au patron, que j'avais laissé à sa garde assis sur le comptoir en bois,laissant un instant mon fils tout seul ??? ??? dans le dans le ??? canapé de la réception, ???
avant de redescendre avec remonter rapidement chercher  les dernières valises. Le patron était parti
dès que j'avais réglé la note, et je me trouvais là tout seul au rez-
de-chaussée.


Le tableau des clefs pendait derrière le comptoir sur le mur dans la pénombre
bleutée de la pièce, et je remaruai que le registre de l'hôtel se
trouvait sur le comptoir, un gros registre en cuir noir granuleux, que
j'ouvris distraitement d'une main, mon fils dans mes bras. Comme je le pensais, car
je me souvenais très bien que quand j'étais arrivé à l'hôtel, le patron
m'avait certes demandé mon passeport, mais l'avait à peine regardé
et me l'avait rendu immédiatement, mon nom n'avait pas été inscrit
dans le registre de l'hôtel — comme si aucune préa trace n'existait
en réalité vraiment en réalitéde mon passage à Sasuelo.en réalité.

Contributeurs (2)
huchonc brigittefc