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III, 3

J'avais fait appeler un taxi, et je l'attendais à la réception, avec
toutes mes affaires qui étaient réparties sur le sol de la pièce. J'avais
dû les descendre en deux fois, laissant un instant mon fils tout seul
dans le canapé de la réception, avant de remonter prendre rapidement <> lmles
dernières valisesdans ma chambre. Quand j'étais redescendu, j'avais été cherché le patron
dans les cuisines pour régler la note de l'hôtel de l'hôtel , et je l'avais trouvé attablé dans la pièce
en face d'un vieux journal à éplucher des pommes de terre en écoutant la
radio. Il m'avait suivi à regret, emportant avec lui un vieux torchon
auquel il s'essuya les mains avant de me présenter la note ,
et il était retourné de son pas lourd à ses patates sitôt qu'elle fut réglée.
J'étais de nouveau tout seul dans la piècen, et je pris mon fils dans
mes bras en attendant le taxi. Le tableau des clefs pendait dans la pénombre
de la pièce, sur lequel la clef de ma chambre pendait à nouveau, et je


Je pris mon fils dans mes bras en attendan t le taxi, et fis quelques
pas dans la pièce. Le tableau des clefs pendan

J'avais re pris mon fils dans mes bras, en attendant le taxi, et je fis
quelques pas dans la pièce. Le tableau<> les contours du Le tableau des
clefs se dessinaient sur le mur pendait se dessinaientdans la pénombre, devant le comptoir, aq auquel sur lequel la clef
de ma chambre pendait etait accrochée pendait à nouveau à présent, et je remarquai que le registre
de l'hôtel se trouvait sur le comptoir, un gros registre en cuir noir
granuleux, que j'ouvris distraitement d'une main, mon fils dans mes bras



Ma clef pendait à nouveau sur le tableau de liège à présent, et je
remarquai que le registre de l'hôtel se trouvait était posé sur le comptoir,

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