J'avais fait appeler un taxi, et je l'attendais à la réception, avec
toutes mes affaires qui étaient réparties sur le sol de la pièce. J'avais
dû les descendre en deux fois, laissant un instant mon fils tout seul dans
le canapé de la réception, avant de remonter rapidement chercher les
dernières valises. Quand j'étais redescendu, j'avais été cherché le
patron dans les cuisines de l'hôtel, et je l'avais trouvé attablé dans
la pièce en face d'un vieux journal à éplucher des pommes de terre en
écoutant la radio. Il avait quitté la cuisine à regret, emportant un torchon
avec lui, auquel il s'essuya les mains dans le couloir avant d'arriver
à la réception, et il était retourné de son pas lourd à ses patates sitôt
que je lui eus réglé la note de l'hôtel.

à la réception pour de me présenter la note à la réception , et il était retourné à ses
retourné de son pas lourd à ses patates sitôt que je la lui eus réglé.
J'étais de nouveau seul dans la réception, qu'elle fut réglée.

Bon retour, dit-il d'un air ennuyé  en prenant congé. La pièce était
et en disparaissant dans les cuisines.
de sa démarche
Je le regardai s'éloigner.

sans ferveur exaltée excessive

Bon retour, dit-il sans ferveur exaltée exaltée excessive, – en prenant congé.et il avait disparut
dans les cuisines.

Bon retour , dit-il en prenant congé comme s'il eût dit attantion à la marche.

Bon retour, dit-il, sans ferveur excessive, en prenant congé comme s'il eût dit attention
à la marche.