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III, 10
 

De retour dans ma chambre, je commençai à faire mes valises en prévision
de mon départ. J'avais un avion en tout début d'après midi, et il fallait
que je quitte Sasuelo dans la matinée, car il y avait plus de deux heures
de route pour rejoindre l'aéroport. Je commençai par ranger les affaires
de mon fils, fit un sac entier d'affaires sales, dans lequel j'entassais  dans lequel j'entassais en vrac ses grenouillères et ses maillots
de corps, son pull, puis ses affaires de toilette, sa sortie de bain en
éponge,toute blanche toute blanche, avec ceinture et capuchon, et je rangeai également
le chauffe-biberon  dans ce sac-là. Puis, ayant fait rapidement ma propre
valise, je passai au gros morceau, le lit de voyage de mon fils, car qu'il
s'agissait maintenant de démonter entièrement le petit centre Georges-Pompidou pour ??? d'essayer de caser ranger
et de ranger toutes les pièces détachées du centre Georges-Pompidou dans la housse portable qui résulteraient de l'opération
dans sla housse portable du Centre Georges-Pompidou. Lorsque ce fut fait, que le petit centre Georges-Pompidou en en fut  réduit à la aux dimensions raisonnables d'une housse portable, je m'assis un instant  sur
le lit. J'avais encore trois-quarts d'heure devant moi. Tous les sacs et
les valises étaient prêts dans la chambre, fermés et cadenassés vérifiés, qui reposaient
par terre à côté de la porte avec la poussette de mon fils de mon fils déjà repliée, et j'étais
inquiet bien sûr, comme toujours avant un départ.

Contributeurs (2)
Emma-Habourdin brigittefc