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III, 16

De retour dans ma chambre, je commençai à faire mes valises en prévision
de mon départ. J'avais un avion en tout début d'après-midi, et il fallait
que je quitte Sasuelo dans la matinée, car il y avait plus de deux heures
de route pour rejoindre l'aéroport. Je commençai par ranger les affaires 
de mon fils, fit un sac entier d'affaires sales, grenouillères et maillots
de corps, son pull, puis ses affaires de toilette, sa sortie de bain en
éponge, avec ceinture et capuchon, [toute blanche et sans compère dessus,
tel Babar ou Mickey, les deux compères incontournables, avec Little Rabbit
bien sûr, nous allions oublier Little Rabbit !,] et je rangeai également
le chauffe-biberon dans ce sac -là. Puis,  ayant rapidement fait ma propre valise, je passai au gros morceau, le lit
de voyage de mon fils, car il s'agissait maintenant de démonter entièrement le petit centre
George-Pompidou, ce qui n'était pas une mince affaire, et de rassembler ranger
toutes les pièces détachées qui résulteraient de l'opération , les tubes multicolores du châssis, dans la housse
portable.Lorsque ce fut fait, je sortis ma veste et mes cravates de
l'armoire,  et je fis ma propre valise

J'avais encore trois quart d'heure devant moi.

Lorsque ce fut fait, je m'assis un instant sur mon lit avec mon fils.
Tous les sacs et les valises étaient prêts dans la chambre, fermés et 
cadenassés, qui reposaient par terre à côté de la porte avec la poussette
repliée, et j'étais inquiet bien sûr, comme toujours avant un départ.
[Avant de quitter la chambre, j'ouvris machinalement l'armoire, et je
m'aperçus que j'allais oublier deux cravates, qui pendait là à un cintre
dans l'armoire vide ]

Contributeurs (2)
Emma-Habourdin brigittefc