fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses
pieds, et il le ramassait de temps à autre comme un vieux torchon pour en
couper un fragment avec un petit couteau, gardant le couteau entre ses
lèvres le temps d'appâter son hameçon.Chacune de ses palangres comptait
bien une vingtaine d'hameçons qui étaient répartis en rang d'oignon tout au long de
la ligne, et, chaque fois qu'il venait de couper avait coupé découpaitavait coupé découpé  coupait un nouveau morceau de poulpe un morceau de poulpe,
rejetantrelâchantaussitôtaussitôtle mollusque à côté de lui  à ses pieds à ses pieds par terre aussitôtqui faisait un flop spongieux
en reretombant dans le fond du bateau, il glissait le nouvel appât ainsi constitué avec adresse le fragment de
poulpe
son lenouveau fragment
avec adresse

qui allait retomberait dans le fond du bateau
en produisant un flop
spongieux,