nuages noirs qui glissaient dans le ciel. A l'approche des côtes accidentées avait
de l'île de
ponton de débarquement , et le cadavre dequi se dressait dans la pénombrealors été débarqué sur le rivage sous la lumière argentée de, le visage bleui et tuméfié
la lunepenché sur le côté que la lumière du
phare venait <> éclairer , puis, lentement,le corps avait été traîné dans la nuit
tracé à même la paroi rocheuse qui montait vers la cabine du phare. Et là,
dans l'obscurité la plus complète, le cadavre avait été abandonné sur le
sol, parmi les instruments de contrôle automatique du phare qui clignotaient
dans le noir, allongé sur le dos et les bras écartés, où il se trouvait
toujours.
Il n'était pas très tard dix heures et demie, et la porte principale était encore ouverte, je remarquai même
tout au plus
de la lumière sous la porte de la chambre des de l'hôtel quand je <>passai dans le couloir. Je , et j
sans bruit dans le noir, déposai mon manteau dans la pénombre sur le dossier d'une chaise et j'enlevai ma cravate. Mon rentrer,
qui dormait tranquillement dans son lit de voyage, et je m'approchai lentement
de la fenêtre pour aller écarter le rideau de la main. J'étais là debout
la fenêtre de ma chambre, et je regardais la route qui s'éloignait dans la
nuit vers la maison des
j'aurais pu composer le numéro de téléphonedes .téléphoner aux
La sonnerie aurait retenti là-bas dans le salon désert de la villa, et, après
quelques secondes, le répondeur se serait mis en marche et j'aurais entendu