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VI ② 76

Je l'observais le regardai encore quelques un instants avant de me décider à sortir de l'hôtel, et je m'éloignais sur la route en regardant à gauche et à droite.

aussitôt sur la route en direction de la maison des Biaggi.


une valise posée contre le mur près de la porte d'entrée, qui devait appar-
tenir à quelque client qui s'apprêtait à partir ou qui venait d'arriver.
Je restai un instant dans le couloir à regarder dehors à travers la vitre
de la porte d'entrée car je craignais que quelqu'un pût s'être posté là
dans les parages de l'hôtel à guetter ma sortie, mais il n'y avait personne
sur la route apparemment, et, de l'autre côté de la chaussée, dans l'enclos
abandonné qui faisait face à l'hôtel, je voyais l'âne solitaire qui s'était
approché de la clôture et qui regardait fixement dans la direction de l'hôtel.
Il secoua la tête brusquement, s ‘éprouvent la crinière, et il reprit lentement sa position
antérieure en dodelinant de la tête. Je finis par sortir de l'hôtel, J'ouvris la porte de l'hôtel finalement Je sortis de l'hôtel alors, et je
descendis les quelques marches du perron en regardant à gauche et à droite,
avant de m'éloigner sur la route.
J'étais déjà presque arrivé à la sortie
du village, et je passai le tournant désert qui longeait la décharge publique
j'avais aperçu le chat la nuit dernière
en craignant de rencontrer quiconque devant moi sur la route devant moi  sur la route. —> en craignant de croiser quiconque sur la route.. La cage grillagée était vide main-
tenant sur le bord de la route
à présent sur le bord de la route, où subsistaient seulement quelques morceaux
de papier collés aux barreaux et deux ou trois
déchets qui avaient dû s'échapper
des sacs quand on avait ramassé les poubelles et qui traînaient par terre
à côté d'un filtre à café renversé, tout déformé et humide, dont le contenu
s'était répandu dans l'herbe à proximité. Je continuais d'avancer le long
de la falaise, et je voyais la mer qui s'étendait au large, étrangement
calme dans les parages de l'île de Sasuelo, tandis que le ciel était très tout à fait parfaitement sombre ???.
noir à l'horizonà l'horizon , couvert de gros nuages de pluie couvert de gros nuages de pluie que le vent portait len-
tement vers la côte. La route était toujours déserte devant moi, qui s'était
enfoncée dans un petit bosquet d'arbres touffus, et j'avais à peine commencé
de longer le mur d'enceinte de la propriété des Biaggi que je me rendis
compte que les grilles de l'entrée de la propriété étaient ouvertes.



Je ralentis à peine, et, comme j'arrivais à la hauteur de la grille, je m'arrêtais légèrement en retrait de l'entrée et
j'aperçus un homme dans le parc jardin — un homme d'allure massive, la carrure
large et les cheveux gris coiffés en brosse, l'homme qui se trouvait dans
la cabine téléphonique ce matin — qui était là debout était devant moi devant moidans le
parc
qui ne m'avait pas vu et qui était tranquillement ??? en train de râtisser???  les feuilles mortes dans le jardinparc jardin parc. Il y avait

? (l'homme ne m'avait pas vu apparemment, et il était en train de

Il ne m'avait pas vu, et je me rendis compte qu'il était en train de râtisser les feuilles mortes dans le parc.

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