J'écoutai attentivement, et je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. J'avais ramassé
écharpe sur un meuble avant de sortir me tenais contrele mur dans le vestibule désert de la villa. restais immobile contre le mur.
couvert d'un dallage blanc et noir, et, sous le grand miroir de l'entrée,
se trouvait une malle en osier sur laquelle étaient posées deux raquettes
de tennis. L'escalier qui montait au premier étage se dressait devant moi
dans l'obscurité, parfaitement silencieux, et je m'avançai lentement dans
l'ombre, ai à monter. marcheaprès marche et me tenant à la rampe, apercevant devant moi le couloir de
l'étage qui s'étendait dans l'obscurité. Arrivé en haut de l'escalier, je
m'arrêtai un instant avant de m'engager plus avant dans le couloir. Qui est
là ? entendis-je.
ma main.
de sa chambre.
bougeait pas.
à avancer. Elle m'avait reconnu maintenant
voyais ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement,
la main quand j'arrivai à sa hauteur, doucement, laissa aller sa tête contre
mon épaulme. Qu'est-ce que tu fais là ? me dit-elle à voix basse .
pris la taille, et sentis le contact de sa chair sous le tissu très léger
de sa chemise de nuit. Qu'est-ce que tu fais là ? répéta-t-elle à voix basse.
