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II, 384

J'écoutai attentivement, et je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. J'eavais ramassé ai une
écharpe sur un meuble avant de sortir quitter le du salon, et je pénétrai sans bruit me tenais contre
le mur dans le vestibule désert de la villa. où je restais immobile contre le mur. restais un instant je m'imobilisais Le sol était très sombre, re-
couvert d'un dallage blanc et noir, et, sous le grand miroir de l'entrée,
se trouvait une malle en osier sur laquelle étaient posées deux raquettes
de tennis. L'escalier qui montait au premier étage se dressait devant moi
dans l'obscurité, parfaitement silencieux, et je m'avançai lentement dans
l'ombre, je m'arrêtai un instant en bas des marches et de  et commençai à monter. Je montais sans bruit au premier étage, marche
après marche et me tenant à la rampe, apercevant devant moi le couloir de
l'étage qui s'étendait dans l'obscurité. Arrivé en haut de l'escalier, je
m'arrêtai un instant avant de m'engager plus avant dans le couloir. Qui est
là ? entendis-je.

Cela avait été comme un cri dans le noir, et je serrai l'écharpe dans
ma main. Hélène Biaggi était là, debout au fond du couloir devant la porte
de sa chambre. Hélène. Elle était en chemise de nuit, les pieds nus, et elle ne
bougeait pas.
 J'étais à moins de quatre mètres d'Hélène d'elle, et je continuais
à avancer. Elle m'avait reconnu maintenant et elle ne bougeait pas,  elle me regardait J'avançai jusqu'à elle, et je
voyais ses yeux dans le noir qui me regardaient fixement, qui souriaient et qui me souriaient <dans le noir>et qui semblaient ne pasne comprenaient pas. . <>Ses lèvres aussi me souriaient, et elle me prit
la main quand j'arrivai à sa hauteur, doucement, laissa aller sa tête contre
mon épaulme. Qu'est-ce que tu fais là ? me dit-elle à voix basse ., et elle  embrassa mes lèvres doucement me toucha la joue, embrassa mes lèvres doucement en fermant les yeux. Je lui
pris la taille, et sentis le contact de sa chair sous le tissu très léger
de sa chemise de nuit. Qu'est-ce que tu fais là ? répéta-t-elle à voix basse.
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brigittefc