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III, 27

Il y avait un champ baigné par la lune en bordure du chemin, que
protégeait une vieille clôture tout abîmée, et j'aperçus un taureau
au loin immobile dans le champ. Je le regardais tout en marcha continuant
à marcher




Je continuai à marcher en le regardant, et la pensée me vint que je
pourrais passer la clôture  et me diriger vers lui, enlevai mon manteau
et le toréer dans la nuit sous la lumière de la lune , avec la montagne
en arrière-plan dont les contours se devinaient au loin.



pourrais passer la clôture et que je pourrais me diriger vers lui, que
je pourrais enlever mon manteau et être là dans la nuit à le toréer sous
la lune, avec la montagne pour seule spectatrice dont les couleurs se
devinaient au loin.


Je continuai à marcher en le regardant, et je me vis en pensées soudain passer
la clôture et me diriger lentement vers lui, je mis me vis enlever
mon manteau dans le champ ??? et le  saisis mon manteau à deux mains comme une cape, et je me vis le et je me vis en pensées le toérer dans la nuit  étais seul sous la lumière de la lune lune, seul dans la nuit en face de l'animal avec
la montagne en arrière-plan dont les contours se devinaient au loin .,  et je me vis en pensées mourir  alors dans ce champ. J'en-
tenadsi le bruit de la mer tout en continuant à marcher, et t???



et je me vis
alors mourir <>
en pensées
dans ce champ,
je me vis
alors en
pensées
mourir <>dans
ce champ.
sur les 
cornes de 
l'animal.

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Julie S brigittefc