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III, 36

qui suivaient le rythme régulier 
régulier de roulis  l'imperceptible roulis
??? léger roulis 
??? au bateau



??? régulier
le balancement des
des eaux du port

Il ne se souvenait plus, lundi ou mardi, et je regardais son visage dans
l'ombre devant moi, son visage aux traits massifs et sa brosse de cheveu
gris très dure que les reflets tremblotants de la lanterne éclairaient partiellement de façon
irrégulière tandis que tToutes les ombres se déplaçeint devant moi au fond dans du bateau

au gré du léger très léger de l'oscillement de la lanterne accrochée contre la paroi de la cabine que le roulis roulis qui faisait se mouvoir la barque dans le portdéplaçait.

La lumière du phare de sasuelo tournait avec régularité dans la nuit
sans nuages, dont le long faisceau lumineux apparaissait par instants
dans le port et repartait aussitôt dans la nuit. Nous étions n'étions
que tous les deux dans le port, et
iIl n'y avait aucun bruit autour
de nousdans le port, et je —> quand, venant du terre-plein meuble ret relativement solide
d'algues sèche que les algues séchées formaient en bordure du bassin
principal, je n'avais été fus attiré par un bruit de pas furtifs, et,
à peine avais-je pris conscience de l'origine de s ses pas que, qu'un chat noir apparut en face de nous sur la, en face
de nous sur la
jetée , qui s'avançant lentement dans notre direction l'une patte après l'autre,
apparut un chat noir, dont les yeux verts luminescents qui brillaient dans
la nuit et me regardaient fixement. Et L'homme cria très fort  alors, qui me fit sursauter,pour le
chasser en l'apercevant
, jeta le chiffon qu'il avait à la main dans
sa direction, pour le chasser qui alla mollement atterrir sur la jetée. Le chiffon alla atterrir très mollement sur la jetée et l'homme était debout au fond de la barque devant moi. Je le l'homme le regardai
— et sles yeux de l'homme étaient haineux.

Et je sus alors, par l'homme qui me le raconta, comment le chat était
mort. je sus alors, par l'homme même qui me l'expliqua peu après, qui me le raconta aussitôt  que le chat
se fut enfui
, toujours irrité et continuant pendant quelques instants
à rezgarder dans la direction où le chat avait fui, que, la veille du
jour où le chat était mort


 , non pas pour se justifier la brusquerie de son geste d'ailleurs, mais toujours par irritation plutôt, en continuant
de regarder dans la direction où le chat avait fui , — que, la veille du
jour où le chat état mort,   il avait ayant décidé d'aller à la pêche le lendemain,   et comme qu'il il avait  comme ce soir  préparé ses palangres à l'avance,
et que, les palangres
prêtes il avait 
été se coucher
le bateau 

et qu'il les avaient laissées
pendant la nuit dans le bateau,
et que, le lendemain matin

Contributeurs (3)
Marie G. brigittefc DU Jiayi